Idées de recettes d’automne par Michèle

La première idée :
Ce WE j’ai fait revenir de la chair à saucisse avec oignon et j’ai ajouté carotte, navet, panais, chou vert, et pdt (légumes que j’ai coupé en cubes) j’ai tout mélangé, j’ai à peine couvert d’eau,, j’ai mis sel poivre et curry

Et de deux !
Le pain de sucre peut se manger cuit (comme une endive; si vous aimez
les lardons, vous pouvez faire une salade au lard , recette ardennaise)

Miam Miam Régalez-vous !

Festival AlimenTerre : Projection-débat le vendredi 12 novembre au cinéma PAX à Quend


L’AMAP Art de Terre de Rue et le cinéma PAX de Quend Plage sont heureux de vous inviter au festival ALIMENTERRE 2021 le vendredi 12 novembre à 20h30 (début du film) pour voir le documentaire « Manger autrement, l’expérimentation » d’Andrea Ernst Kurt Langbein et de participer à la discussion qui suivra en présence d’Emilie Hecquet de la Ferme de la Cannanée et Laurence Devismes, diététicienne.

La séance est au tarif unique de 4 € et le pass sanitaire est obligatoire
Cette année encore, pas de pot de l’amitié, précaution sanitaire oblige !

Alors rendez-vous pour le festival ALIMENTERRE !

Le PAX et l’AMAP Art de Terre
Adresse du cinéma PAX : Pl Ch De Gaulle Quend Plage les Pins
Pour partager sur facebook : https://www.facebook.com/amapderue

On a 10 ans !

Ce dimanche 10 octobre à 10h10 les amapiens de Saint-Valéry et ceux de Rue arrivaient chez Michèle et Florent nos maraîchers adorés.
C’était une journée particulière, car nous fêtions LES 10 ANS des Légumes de la Morette et ceux des deux AMAP.

C’est donc sous le soleil que nous avons visité les champs, les hangars, découvert les nouveaux engins grâce aux explications de Florent. Nous sommes entrés dans le nouveau laboratoir et confectionné des soupes sous la houlette de Michèle mais aussi visiter les hangars. Cependant les enfants ont participé à une « soupe investigation ». Nous nous sommes tous retrouvés pour partager un verre de l’amitié et un bon repas autour des plats et salades confectionnés par nous tous.
Encore une belle journée et Rendez-vous dans 10 ans !

Quiche aux Blettes

Voici une idée partagée par Michèle :
Prenez votre recette préférée de quiche aux lardons ajouter des blettes et des petites tomates rouges coupées en deux… et régalez-vous !

Quiche aux Blettes

Ca y est les contrats « légumes 2018/2019 » sont arrivés !

Possibilité de contrats à l’année ou pour la saison « été 2018 ».

  • Première livraison le mardi 3 avril 2018 de 17H45 à 19H, salle dans la cour de l’ancienne CPAM place Anatole Gosselet à RUE.

Télécharger le contact 2018 version PDF

N’hésitez pas à consulter le « calendrier des distributions » !

« Zéro phyto 100% bio » un documentaire d’utilité publique à Crécy !

Mercredi 28 mars (20h), Baie de Somme 3 Vallées s’associe avec le cinéma Le Cyrano à Crécy-en-Ponthieu pour une soirée ciné-débat autour de la transition écologique et plus particulièrement les questions de santé publique et d’environnement avec l’arrêt de l’utilisation des pesticides dans les communes et la mise en place de nombreuses cantines Bio enFrance

Au programme de cette soirée : diffusion du film documentaire « Zéro Phyto 100% bio » de Guillaume Bodin (voir plus bas) suivi d’un débat (programme à suivre)

Entrée : 5€

La bande annonce 

[vimeo 208573175]

Synopsis du documentaire

Les cantines biologiques se développent presque aussi rapidement que l’arrêt des pesticides dans les communes françaises. Des femmes et des hommes, conscients de leurs responsabilités en termes de santé publique et d’environnement, agissent pour des paysages en transition au travers d’initiatives vertueuses !

Après Insecticide Mon Amour, le réalisateur Guillaume Bodin présente Zéro phyto 100 % bio, son nouveau film-documentaire. Un récit passionnant sur plusieurs communes françaises qui n’ont pas attendu l’obligation du Zéro phyto pour changer leurs habitudes. (le 1er janvier 2017 la loi Labbé interdisant l’utilisation de pesticides dans les espaces publics est rentrée en vigeur en France)

Ce doc met aussi sur le devant de la scène des pionniers de la restauration collective biologique et leurs partenaires (entreprises, collectivités, associations, agriculteurs, ingénieurs, artisans) qui travaillent à l’amélioration de la qualité des repas servis.

ZéroPhytho

Les expériences présentées nombreuses et variées : la commune de Miramas, a réintroduit en ville des plantes méditerranéennes et des graminées moins consommatrices d’eau en même temps qu’il arrêtait l’emploi d’insecticides. Ce travail a été complété par une sensibilisation de la population, mécontente de voir réapparaître des mauvaises herbes. A Versailles, Cathy Biass-Morin, elle aussi responsable des espaces verts, a travaillé avec des PME à la réalisation de matériel alternatif mécanique capable de lutter contre la prolifération de mauvaises herbes. Pour rester à budget constant, l’argent économisé par l’abandon du désherbage chimique a été réinjecté dans des entreprises de réinsertion, et les plantes vivaces ont été préférées aux annuelles. À La Grande Synthe, l’arrêt de l’emploi d’intrants chimiques s’est accompagné de la mise en place des jardins potagers, des cours de cuisine, d’ateliers de partage des récoltes ou encore de connaissance de la biodiversité…

100% Bio

Malgré l’achoppement du projet de loi imposant 20 % de produits issus de l’agriculture biologique dans la restauration collective au Sénat, certaines communes ont décidé de prendre les devants.

À Mouans-Sartoux, la régie agricole municipale répond à l’essentiel des besoins alimentaires de la commune. Le reste est fourni par des fermes biologiques locales.

Nourrir, c’est aimer, alors pourquoi lésiner !

Édouard Chaulet – Maire de Barjac

À Langouët comme à Paris, dans les 2e et 5e arrondissements, les élus ont adopté des mesures drastiques pour améliorer la qualité des repas et collaborent étroitement avec des agriculteurs bio et des associations de leur région.

Comme le dit le maire de Barjac, « nourrir, c’est aimer », alors pourquoi « lésiner » quand il s’agit de nourrir nos enfants ? Les populations des hôpitaux, des prisons, des écoles ou des maisons de retraite n’ont-elles pas droit à une alimentation saine et de qualité ?

Conscients de leurs responsabilités en termes de santé publique et d’environnement, ces acteurs de terrain ne livrent pas de solutions toutes prêtes, mais décrivent plutôt les étapes qu’ils ont franchies pour mener à bien leurs projets. Leur expérience montre que toutes les communes, quelles que soient leur taille et leur couleur politique, peuvent changer leurs pratiques.

 (source scienceetavenir.fr)

Un doc qui fait du bien !

Résolument positif, le réalisateur Guillaume Bodin a choisi de donner la parole à des acteurs de terrain comme Olivier Desmarest éleveur de Sainte-Segrée dans la Somme très engagés qui, sans se contenter de respecter une étiquette « bio » ou « sans phyto », ont mené une démarche politique d’ensemble en modifiant leurs pratiques, en travaillant avec la population, en sensibilisant les plus jeunes.

Or il n’est pas sûr que cette approche globale, qui aurait un réel impact environnemental, soit respectée à plus grande échelle sujet que le film n’aborde pas. Car on le sait : il existe aujourd’hui un « bio low cost », estampillé AB, mais qui ne prohibe pas les produits ayant effectué de longs voyages ou importés à « contre-saison », peu contrôlé sur le plan phytosanitaire, et dont l’impact sur l’environnement, par conséquent, est pratiquement le même que celui de produits ne pouvant prétendre à ce label. Il n’y a pas un seul Bio Mondial…